Le relamping LED de locaux professionnels consiste à moderniser votre parc de luminaires intérieurs et extérieurs et à équiper vos locaux professionnels avec la technologie LED.
Plus sobre en matière de consommation énergétique, cette option en technologie LED permet de réduire instantanément vos factures, diminuer votre impact environnemental et suivre la réglementation en vigueur !
Une stratégie aux multiples avantages
Dans le cadre du décret tertiaire, la fabrication des tubes fluorescents sera interdite à partir du 25 août 2023. L’opportunité de découvrir les bénéfices de nouveaux équipements, moins énergivores et aussi plus durables. Avec la technologie LED, la consommation d’électricité diminue, la qualité de l’éclairage s’améliore, l’investissement dure plus longtemps et l’empreinte carbone diminue !
Pour le remplacement d’éclairages utilitaires extérieurs (parking, cour…), A ce jour, les CEE (certificats d’économies d’énergie) donnant droit aux aides gouvernementales sont mobilisables à hauteur d’environ 50 à 60 € par luminaire éligible, soit environ 20 % à 25 % du prix d’un luminaire de qualité.
“Il faut bien comprendre que la part de l’éclairage dans la consommation énergétique d’un bâtiment tertiaire est comprise, pour l’essentiel, entre 16% et 22%. En divisant par 2,5 cette part de consommation (ordre de grandeur de l’économie pour un passage du fluo au LED), le résultat est vraiment significatif ! Cette énergie économisée, c’est à dire non consommée, est un geste écologique direct en faveur de la planète et de la lutte contre le réchauffement climatique !
Ainsi, les quelques critères importants pour envisager un relamping nous obligent à raisonner en coût global et retour sur investissement (ROI).
La démarche véritablement efficace et rentable, financièrement et pour la planète est de procéder à un relamping sur le bâtiment en entier quand c’est possible. On peut procéder en une fois, ou à défaut, prévoir des phases d’importance significative (minimum 50 luminaires à la fois) et une durée globale raisonnablement courte.
Les bénéfices du relamping LED de locaux professionnels
- Diminution des émissions de CO2 : consommation optimisée et composants plus vertueux
- Durée de vie plus longue : intensification de l’usage des nouveaux équipements avant recyclage
- Transition vers des bâtiments BBC en pilotant l’ensemble du parc luminaire de manière efficiente
- Confort d’utilisation et valorisation de l’éclairage naturel : cadre de travail qualitatif pour les usagers
Bénéfices économiques
- Réduction des consommations énergétiques jusqu’à moins 70 % par rapport aux luminaires obsolètes et retour sur investissement rapide en moins de 4 ans
- Gain de performance même en fin de vie : maintien du flux lumineux (entre 80 et 99 % du flux au bout de 50 000 heures d’utilisation en moyenne)
- Baisse du coût de maintenance : moins d’entretien que les anciens dispositifs d’éclairage
Qualité de l’éclairage et performance globale
Opter pour une installation LED, en mettant le bon nombre de luminaires au bon endroit, c’est diviser par deux et demi sa consommation d’électricité en moyenne.
Un établissement scolaire qui remplacerait les lampes conventionnelles de ses salles de classe (type fluo 4x18W) par des luminaires capables de détecter la lumière naturelle pourrait donc améliorer sa performance énergétique et réduire son budget d’éclairage à moyen terme en maximisant le confort des élèves et des enseignants.
Respect de la norme EN 12464-1
La norme EN 12464-1 (mise à jour en 2021) définit les limites à respecter pour l’éclairage des lieux de travail et l’environnement immédiat selon trois critères :
– l’intensité lumineuse exprimée en lux : selon l’application et l’occupation des lieux, les critères d’appréciation de l’éclairage varient : par exemple, on attend un minimum de 300 lux sur une table de travail ou dans une salle de classe, contre 200 lux à un poste d’accueil et 20 lux sur un parking.
– l’indice d’éblouissement d’inconfort (UGR) : cet indicateur traduit le confort visuel des usagers. Depuis 8 à 10 ans, les couleurs chaudes ne sont pas plus onéreuses que les froides.
– l’indice de rendu des couleurs (IRC) : reflète la qualité de la restitution de la couleur lorsque l’éclairage est artificiel : 0 (l’oeil humain ne distingue aucune couleur) à 100 (restitution optimale). Point de repère : en-dessous de 80, on considère que l’indice est mauvais.
Les éclairages LED intègrent parfaitement la norme car peu énergivores et respectueux des exigences règlementaires : rendu des couleurs, température de couleur, possibilité de variateur, réaction à l’allumage, rendement des équipements…